lundi, novembre 23, 2009

 

La suite, par Tania Tokarski


Bon, cette semaine, j’ai encore envie de me défouler alors, allons y, puisque ça me fait du bien. Le sujet, cette fois ci, est l’amour.

L’amour. *soupir* C’est si beau. On en fait des chansons, on en fait des poèmes (ce qui revient un peu au même puisque dans les chansons, y’a de la poésie. D’uh!)

On en fait aussi beaucoup d’autres choses; des livres, des téléromans, on en retrouve dans les films d’aventure. D’ailleurs, je ne sais pas si c’est Léonard de Vinci lui-même qui avait dit «Une vie sans amour, ce n’est pas une vie.» Ouch! Si on n’est pas aimé, bonjour le suicide. Cela dit, je connais des amis pour qui le manque d’amour à causer des ravages dans leur vie. Je vais élaborer dans le paragraphe qui suit.

Moi, ma vie n’a pas été facile, mais comme je l’ai découvert, on peut dire de même de la vie de la plupart des gens. Mon principal problème à moi a été mon intégration dans le milieu scolaire. À la maternelle, j’étais une enfant sociable, mais timide. J’aimais être avec les autres enfants, mais je n’avais probablement pas la bonne technique pour les approcher.

Ce fait a perduré pendant tout mon secondaire, avec ses complications. Une personne qui à de la misère à se faire des amis sera seule, seule elle sera plus vulnérable. Et les ados s’attaquent aux enfants vulnérables.

Tout mon secondaire j’ai été ridiculisée. J’avais peur d’aller à l’école, on me lançait de la nourriture, et quand je me défendais et me fâchais, cela ne faisait qu’empirer les choses; j’avais l’air toute ridicule à m’emporter en bégayant contre plusieurs ados agile des babines. Résultat: je me repliai sur moi-même. J’avais peur de dire mon mot. J’avais peur d’être remarquée.

Dans la vie, j’en venais à croire que je n’aurais jamais d’amis, étant probablement socialement inapte dans un monde qui ne voulait pas de moi. Cette pensée a changée quand je connues l’amour. Une personne me remarqua. Une amie d’abord, faite en secondaire 2. Elle aimait les jeux vidéo, elle aussi.

Ensuite, un garçon, qui me plu beaucoup et à qui je plu aussi, secrètement, au fil du temps. L’amour, son acquisition et sa recherche ont toujours fait vibrer quelque chose en moi. Et c’est ça qui me tient animée. Mais il n’en a pas été de même pour tout le monde.

Mon autre ami, dont je ne nommerai pas le nom ici, à eu une vie peut-être plus dure encore que la mienne. Enfant non désiré, il a cherché l’amour et l’approbation de son père.

En vain. Ceci à causé des ravages sur son approche face à l’amour. L’amour qu’il cherchait et qui lui causait tant de mal par son absence, a fait de lui un être qui a appris à vivre sans. On dit que nous ne pouvons donner ce que nous n’avons pas reçu. Et bien, malgré ses efforts, sa petite amie n’a pu recevoir ce qu’elle était prête à lui donner.

Elle avait entendue que les maux du cœur ne pouvaient être guéris que par l’intervention d’un autre. Par l’amour qu’un être donne et reçois. Sachant que l’amour avait fait un bien fou pour son estime, cette fille tenta d’en donner et d’en recevoir de son ami. Mais en vain.

Cependant, elle demeura sûre d’être parvenue à ouvrir une petite fenêtre pour qu’une autre (ou elle-même) essaie à nouveau de guérir ce jeune homme, un jour, lorsqu’il serait prêt. Espérons qu’il acceptera de faire confiance à cette personne et qu’elle ne le détruira pas.

Tania Tokarski

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Commentaires:
Ce jeune homme vas t il mieux dorénavant?

Rumeur
 
Oui, il va mieux. :)

Il s'est réconcilié avec son père et s'est fait deux blondes après moi.

En plus, il travaille dans ce qui le passionne et s'entraîne au gym régulièrement. Je suis contente pour lui.
 
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