mardi, septembre 21, 2010

 

À l'école sous escorte, par Serge Labrosse


C'est sous escorte que les quatre élèves de l'école Armand-Frappier, traquées depuis deux semaines par autant de suspects, à Saint- Constant, doivent, ce matin encore, se rendre à l'école.

Les parents des adolescentes les protégeront jusqu'à ce que les suspects aient été neutralisés.

«On n'a pas le choix, explique Lyne St-Denis, la mère d'une des filles. Elles n'osent plus sortir de la maison.»

Rappelons que depuis deux semaines, un groupe de quatre individus dans la vingtaine, des «hindous » à bord de véhicules automobiles, harcèle sans répit les quatre jeunes filles de 14 et 15 ans sur le chemin de l'école.

Même le week-end

L'un des suspects ne se contente d'ailleurs plus de traquer les adolescentes durant la semaine.

«Samedi soir, relate Mme St-Denis, Muna (l'une des victimes) m'a téléphoné. Elle m'a dit : Lyne, Lyne, je viens de les voir. Ils sont là, sur la rue !»

«Elle était à bicyclette. Elle a aperçu la Nissan Sentra verte dans laquelle se trouvaient les gars et qui faisait demi-tour vers elle.»

Muna a plus tard raconté s'être aussitôt emparée de son cellulaire.

Lyne St-Denis : «Je lui ai dit de venir tout de suite chez moi, mais elle était loin, sur la rue Monchamp. On n'a pas pris de chance. Je suis allée la chercher avec ma Van et on a embarqué sa bicyclette pour rentrer. »

Confinées à la maison

Inutile de dire que les quatre amies n'osent plus sortir de chez elles.

«Ma fille, en tout cas, elle reste à la maison», précise Mme St-Denis.

Et puisque la Régie intermunicipale de police Roussillon semble incapable de neutraliser les suspects -qu'elle aurait pourtant suivis ou interceptés une ou deux fois, selon des témoins -, les parents n'entendent pas relâcher leur vigilance. Déjà, ils ont eux-mêmes organisé quelques filatures pour identifier et tenter d'intercepter les suspects -avec les risques que cela suppose.

Entre-temps, il est bien difficile de savoir si l'affaire représente une urgence ou non pour la police du Roussillon.

Policier indifférent

Certainement pas pour le relationniste du service, en tout cas. Informé en fin de journée, vendredi, qu'un reportage allait être publié le lendemain sur ce sujet, l'agent René Fleury n'a pas jugé utile de répondre aux inquiétudes dont les parents s'étaient confiés au Journal. Il n'a pas rappelé.

Dans un message laconique laissé sur le répondeur du journaliste, le lendemain, il expliquait n'avoir «pas retourné [notre] appel urgent de vendredi soir» parce que «j'étais à la maison, bien tranquille, en train de souper avec mes amis et ma femme»...

On pouvait comprendre de la suite de son message qu'il n'était pas payé pour répondre aux appels de week-end, à moins qu'on ne lui en attribue spécifiquement la tâche (ce que son répartiteur avait pourtant fait en lui transmettant notre appel).

De toute façon, concluait l'agent Fleury, d'un ton détaché : «D'ici à lundi, ça va devoir attendre... »

Le Journal a relayé le message aux victimes, qui craignent toujours pour leur sécurité.

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Commentaires:
Monsieur Chartrand,

Mon nom est Sylvie et j'habite à Laval.

Y a 2 gars de tites races ethniques de Mumbai qui rôdent autour de mes 2 filles de 13 et 15 ans et la police n'arrive même pas à les pogner, même si nous sommes sous protection policière.

Elles se font traîter de <>. Les gars prétendent parce qu'ils ont des chaînes en or dans le cou, une chemise Armani et l'argent de Papa qui est riche, qu'ils vont marier de force mes filles.

Ils me harcèlent m'offrant 25000$ par enfant si j'accepte de leur donner mes filles en mariage. Ils racontent qu'ils ont rencontré mes filles de 13 et 15 ans sur Facebook, qu'ils sont venus de l'Inde pour venir les <> en plus de, comme ils disent, <>.

Ils m'ont raconté que mes filles seraient mariées à deux riches héritiers, même si elles seraient dans un harem. Mais comme disent les 2 Indiens, <>.

La police est devant la maison à l'heure où je vous parle. Mais que me conseillez-vous comme riposte contre ce fléau ethnique qui pratique la traîte des femmes.

Sylvie Boulanger
 
Monsieur Chartrand,

Mon nom est Sylvie et j'habite à Laval.

Y a 2 gars de tites races ethniques de Mumbai qui rôdent autour de mes 2 filles de 13 et 15 ans et la police n'arrive même pas à les pogner, même si nous sommes sous protection policière.

Elles se font traîter de "Little pretty white se slaves". Les gars prétendent parce qu'ils ont des chaînes en or dans le cou, une chemise Armani et l'argent de Papa qui est riche, qu'ils vont marier de force mes filles.

Ils me harcèlent m'offrant 25000$ par enfant si j'accepte de leur donner mes filles en mariage. Ils racontent qu'ils ont rencontré mes filles de 13 et 15 ans sur Facebook, qu'ils sont venus de l'Inde pour venir les "chercher" en plus de, comme ils disent, "les sortir d'une société sans avenir pour les amener dans l'Inde florissante".

Ils m'ont raconté que mes filles seraient mariées à deux riches héritiers, même si elles seraient dans un harem. Mais comme disent les 2 Indiens, "mieux vaut mourir riche dans un harem que marié avec un plouc québécois dans un société qui s'achève".

La police est devant la maison à l'heure où je vous parle. Mais que me conseillez-vous comme riposte contre ce fléau ethnique qui pratique la traîte des femmes.

Sylvie Boulanger
 
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