mardi, juillet 27, 2010

 

Terrorisme sexuel en Australie, par Anne Humphreys


Les victimes disent sortir d'un long cauchemar éveillé.
L'Australie toute entière est encore sous le choc.
Seulement deux victimes ont osé témoigner...


C'est stupéfaite que l'Australie vient de découvrir l'un des plus abominables fait divers de son histoire, et à quel point elle a été le jouet de toutes les manipulations visant à faire taire une journaliste, Janet Albrechtsen, qui tirait la sonnette d'alarme depuis 3 ans...

L'ampleur et les détails de l'affaire commencent à peine à sortir dans les journaux, y compris les plus sérieux du pays, et c'est le choc devant le sadisme et la barbarie des crimes, mais surtout leur motivation.

Car le pire pour l'Australie c'est qu'elle découvre un phénomène totalement nouveau qui en deux ans émerge de deux affaires quasi-similaires, le « viol djihadiste », revendiqué en tant que tel comme arme de guerre contre les « croisés » occidentaux.

Au départ, une affaire de viol sordide

Quand finalement un des 5 accusés de plusieurs viols collectifs, tous frères, a craqué et avoué son crime en pleine audience, le soulagement se lisait sur le visage des victimes. Ou plutôt de deux seulement des victimes, qui sur les 18 ont osé aller jusqu'au bout et témoigner devant la cour des crimes qu'elles ont subi.

L'avocat de la défense s'est assis, et à travers lui c'est tout un système mis au point autour de la bande des 5 Pakistanais et leur famille pour se défendre qui s'effondre en un aveu à peine audible, d'une voix presque frêle qui ferait oublier que le jeune homme qui vient de craquer sous les assauts du procureur et devant l'évidence des preuves ADN.

L'affaire était restée confidentielle, ne tenait presque que de la rumeur infondée ou exagérée depuis des mois. Car l'affaire était sensible, 5 musulmans mis en accusation de crimes sexuels particulièrement sordides contre des jeunes filles de 13 à 17 ans, dans un pays où on ne badine pas avec une morale toute protestante dure comme l'acier, les autorités craignaient le pire dans un contexte international difficile.

Car c'est au lendemain des attentats de Bali que l'affaire devient judiciaire. 6 jeunes adolescentes décident de porter plainte pour viols collectifs répétés, subis depuis des mois sous la contrainte à laquelle les ont soumis 5 hommes âgés de 16 à 22 ans, d'origine pakistanaise, qui crient au complot anti-musulman au lendemain des attaques terroristes de Bali qui a fauché la vie de centaines de jeunes touristes australiens visés par Al-Qaïda pour punir l'Australie de son soutien aux États-Unis en Iraq.

Associations antiracistes, musulmanes, familles des accusés, soutiennent les jeunes hommes « bien sous tout rapport », qui reçoivent même le soutien de la mosquée locale. Le père des accusés lâche en sortant du tribunal, « les filles pakistanaises ne sortent pas le soir, vous êtes les ennemis des musulmans, vous les blancs n'aidez que les blancs, et mes fils ne sont pas des violeurs »

Des preuves accablantes et la logique de la terreur

Mais les preuves sont sans appel, les 5 frères filmaient les viols qu'ils commettaient dans une petite maison que le plus vieux avait loué pour cela.

Arrivés avec leur famille en Australie en 2000, grâce au plan d'immigration sélective qui permet au père, médecin généraliste, de s'installer à Sydney, les 5 frères vont pendant plusieurs mois, de janvier à juillet 2002, flirter avec des filles, qu'ils prenaient soin de sélectionner toujours jeunes, vulnérables et suffisamment naïves pour se laisser entraîner dans la maison d'Ashfield sous le prétexte d'une petite "fête" improvisée entre jeunes.

Le scénario était ensuite toujours le même, les filles étaient immédiatement menacées, forcées de boire de l'alcool jusqu'à l'ivresse puis violées, toujours de manière très violente, les psychiatres soulignant le caractère sadique des viols après visionnages des bandes vidéo que les agresseurs enregistraient et classaient minutieusement.

Ensuite la terreur s'établissait pour que les filles se taisent, et puissent rester « à la disposition » des 5 frères qui pouvaient ainsi les faire revenir pour de nouveau leur faire subir leurs assauts.

L'un des frères avait trouvé un « moyen » de coercition efficace pour terroriser les filles, ils prétendaient avoir séjourné en Iraq, y avoir violer des filles, les avoir étranglé puis pendu au balcon de leurs propres maisons...

La télévision australienne évoque tous les jours au journal du soir ces jeunes djihadistes européens, Américains ou Australiens qui s'entraînent dans des camps terroristes en Iraq ou au Pakistan et qui reviennent en toute impunité vivre comme si de rien n'était et que n'importe qui pourrait côtoyer sans le moindre soupçon. Cela, les 5 frères le savent et en tirent profit pour terroriser leurs jeunes victimes qu'ils contraignent à se soumettre régulièrement à leurs viols.
Souvent ils les violent en brandissant des couteaux, les blessent même pour mieux les terroriser.
La logique de la terreur est imparable, leur domination est complète.

Un acte politique

Au fil des mois, les agressions sont toujours plus violentes, une fille est jetée contre un mur, sodomisée de force, elle n'a que 14ans, par un des frères qui se réclame de « Skaf le lib ». Et c'est là que l'affaire sort du fait divers sordide, et prend une ampleur nouvelle que l'Australie découvre ces dernières semaines dans un climat lourd qui soulève une véritable peur intérieure.

Les 5 frères ne sélectionnaient pas seulement des filles jeunes en fonction de leur vulnérabilité et de leur naïveté, qu'ils séduisaient avant de les violer, mais ils ne choisissaient que des filles blanches australiennes qu'ils accusaient ensuite d'être des filles légères, se donnant au tout venant, ce que le père des 5 frères utilisa comme argument pour dénoncer les moeurs décadentes des Anglo-saxonnes accusant ensuite ses fils de les avoir violé pour s'exonérer de leurs fautes !

Or ce choix de jeunes filles australiennes blanches n'était pas seulement religieux ( ils n'auraient jamais touché à des musulmanes, le plus âgé étant même marié et père d'un garçonnet de 3 ans ), ce choix était politique, revendiqué en permanence sur les bandes vidéo au nom d'un homme, "Skaf le libanais", dont le nom était scandé pendant les viols (si Skaf le lib' veut te s..., il te s…)

Les 5 frères musulmans, se réclament en fait de deux hommes, eux aussi frères, qui ont fait régner la terreur dans un quartier de la mégapole australienne, Sydney: les frères Bilal et Mohammed SKAF, d'origine libanaise.

C'était juste avant les attentats du 11 septembre, le 9 précisément, dans le grand quotidien conservateur The Australian, Janet Albrechtsen, éditorialiste connue et respectée, et Alan Jones, présentateur vedette de la radio rightwing, dévoilent simultanément une affaire sordide qui fera trembler l'Australie pendant... deux jours, les attentats du 11 septembre aux États-Unis éclipsant presque miraculeusement l'affaire qui sera ensuite minimisée par les autorités. Janet Albrechtsen devra son maintien dans l'équipe éditoriale de son journal à la ténacité et à la puissance du groupe News Corporation, appartenant à Ruppert Murdoch, qui résistera aux très fortes pressions politiques qui réclament la tête de la journaliste.

Tenu dans le plus grand secret pendant des mois, Janet Albrechtsen révèle aux Australiens que 70 jeunes adolescentes ont subi pendant des mois des viols collectifs particulièrement barbares de la part d'une bande de 19 jeunes musulmans d'origine libanaise, dans la banlieue sud-ouest de Sydney, menée par deux frères, Bilal et Mohammed Skaf, qui loin de nier leurs crimes, les revendiquent au contraire au nom de l'islam, à des policiers et des juges totalement médusés.

Pendant des mois de 2000 à 2001, ils vont mener un « djihad » particulier, revendiqué en tant que tel, un « djihad sexuel » où l'appartenance ethnique de leurs victimes est centrale.
Les viols collectifs de jeunes filles comme une arme, du « terrorisme sexuel » à travers les quartiers sud-ouest de Sydney.

Ils sélectionnent très soigneusement leurs victimes, uniquement des blanches Australiennes, de préférence très jeune et dont la vulnérabilité permet d'imposer un régime de terreur dans lequel elles deviennent les véritables « esclaves sexuelles » de leurs agresseurs.
Les viols collectifs sont particulièrement sordides et cruels, ainsi une jeune fille de 15 ans, en août 2000 a été violée 25 fois par 14 garçons, y compris les deux frères Bilal et Mohammed Skaf, pendant 6 heures d'affilée où elle subira les pires violences.

Pendant les viols, là aussi filmés, les coups et les insultes pleuvent, toutes à caractère raciste. Une jeune fille de 17 ans témoignera devant la cour rapportant les propos des violeurs: « tu le mérites parce que t'es australienne ». Aux insultes ordinaires (salopes, putains) s'ajoutent les injures racistes, « chiennes blanches », « mécréantes », « sales chrétiennes », « décadentes occidentales »...

Il faut taire ces affaires

Les frères Skal seront lourdement condamnés, mais uniquement pour viols et actes de barbarie, les injures racistes étant écartées, car « ne visant pas des minorités » !!! 55 ans pour Bilal, et 35 ans pour Mohammed. Mais le « Skaf leb' style » est né, et ressurgit presque au détour de toutes les affaires de viols impliquant des musulmans ou des moyen-orientaux. Les sites Web et forums musulmans australiens sont investis par des propos vantant le « Skaf leb'style », malgré la chasse menée sur Internet par la police australienne et la modération des forums et newsgroups par les webmasters.

Les mêmes arguments, qui seront d'ailleurs ceux là aussi de la famille des frères Skal, reviennent comme en boucle, sur la légèreté des moeurs occidentales, qui font de ces filles des filles faciles et de leurs agresseurs des innocents, victimes de racisme antimusulman.

Les associations de gauche, mais aussi des chroniqueurs de droite d'abord soucieux d'apaiser les tensions inter-communautaires exacerbées par les attentats du 11 septembre puis ceux de Bali en 2002, dénoncent Janet Albrechtsen et le quotidien The Australian qu'ils accusent d'amalgames, de tentative de criminaliser l'islam, de semer la haine raciale.

L'affaire est écrasée par les propos indignés des élites bien pensantes australiennes qui préfèrent ne voir dans ces affaires, que des faits divers à caractère purement sexuel, reléguant leur traitement au rang de viols individuels ou collectifs ordinaires, certes durement condamnés, mais sans prise en compte d'un contexte politique et religieux pourtant avéré.
Tout juste sera-t-il concédé le caractère misogyne des criminels

Tout cela en oubliant que du fond de sa cellule Skaf revendique toujours ses viols au nom de l'islam, et surtout que la nouvelle affaire qui sort ces jours-ci dans la presse Australienne, revêt de nouveau un caractère identique de la part de jeunes musulmans contre les australiens en faisant du viol de jeunes adolescentes blanches leur arme, comme une sorte de « terrorisme sexuel » qui sévirait en Australie, moins spectaculaire que des bombes, mais aussi destructeurs pour les victimes.

Les 5 frères pakistanais n'auront pas le courage des frères Skaf qui revendiquaient clairement leurs crimes comme une sorte de « djihad sexuel », mais les bandes vidéo et les enregistrements qu'elles contiennent ne laissent aucun doute quant à ce qui a inspiré leurs actes, autant un réel sadisme sexuel que l'empreinte d'une revendication néo-islamiste parfaitement claire.

Attaquée de toutes parts, Janet Albrechtsen est devenue la paria des journalistes australiens pour avoir osé dévoiler au grand jour la triste trame de fond de ces affaires de viols collectifs pas comme les autres qui font peur à l'Australie, victime d'un terrorisme des caves dont le nombre de victimes s'élèverait déjà à près d'une centaine de jeunes filles dans le pays.

Mais en Australie comme ailleurs, au nom du « politiquement correct » et d'une politique hypocrite et lâche d'apaisement, on préfère incriminer l'éditorialiste de The Australian et l'accuser de racisme plutôt que de constater les faits dans leur, justement trop terrifiante, vérité. Il faut taire ces affaires lancera un ministre du gouvernement fantôme du labour (gauche) en pleine conquête des voix musulmanes pendant les élections de 2004 et qui a fait de son opposition à la guerre en Iraq son thème principal de campagne contre Howard, le premier ministre australien, conservateur, proche de Bush.

Des preuves accablantes en... Europe

Les auteurs français et danois, Jean Jacques Rassial de l'Université villetaneuse et Flemming Balvig de l'université de Copenhague, montrent une implication exponentielle des musulmans parmi les auteurs de viols collectifs, auxquels on donnera même un nom particulier pour les décrire en France, les « tournantes ».

Les résultats de leurs enquêtes sociologiques, qu'ils peuvent difficilement contester sont claires : au Danemark où les enquêtes de ce type peuvent cerner des profils ethniques et religieux comme éléments d'études statistiques, y compris par la police, contrairement à la France où cela est interdit par la loi, montrent qu'en 2003 pour une proportion de 7,4% de musulmans dans la population totale du Danemark, cette proportion atteint 76,5% des détenus du pays pour crimes sexuels.

Dans l'ensemble de l'Europe, on estime d'ailleurs ces chiffres dans des proportions proches, tant dans les pays où les chiffres sont connus que dans ceux, comme la France, où leur divulgation est interdite par les lois contre la discrimination raciale ou religieuse. Mais en France le phénomène est néanmoins suffisamment reconnu pour faire l'objet d'études particulières, ainsi celle de Jean jacques Rassial, qui bien que se défendant de vouloir impliquer dans sa réflexion une connexion entre le contexte ethnique ou culturel et les tournantes, les décrit comme des rites de passage des jeunes hommes des banlieues parisiennes, que le film « la squale » projettera d'ailleurs en évoquant explicitement les tournantes dont sont victimes des adolescentes blanches de la part de jeunes maghrébins dans les cités.

Mais malgré leurs critiques vis à vis de Janet Albrechtsen, ni l'un, ni l'autre, ne contestera les résultats de leurs études montrant une massive et indiscutable sur-représentation des musulmans chez les auteurs de viols collectifs.

La vérité finit toujours par sortir

Les premières condamnations sont tombées pour les 5 frères pakistanais, et d'autres suivront, qui se cumuleront et dépasseront probablement plusieurs décennies d'emprisonnement. Mais surtout cette affaire a des airs de retour de bâton pour les élites australiennes, les associations musulmanes et antiracistes, ainsi que pour la presse de gauche et certains chroniqueurs conservateurs qui avaient préféré désavouer Janet Albrechtsen plutôt que de sortir de leur aveuglement.

La vérité finissant toujours par sortir, c'est au détour d'un nouveau et sordide fait divers que les medias et les autorités avaient tenté d'étouffer et qui a fini par se révéler au grand public ces derniers jours, que les Australiens prennent conscience progressivement de la gravité et de la portée de ce qu'ils ne considéraient que comme des faits divers certes sordides, mais relevant banalement d'affaires de moeurs, ce qu'ils ne sont clairement pas.

C'est bien à une autre forme de terrorisme auquel l'Australie est confrontée

Sources : The Australien, SMH, New York Post, ABC, Guardian, Fox

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En Norvège et en Suède, le journaliste Fjordman parle d'une épidémie de viol. Deux viols sur trois commis à Oslo sont le fruit des immigrés musulmans et 80 pour cent des victimes sont des femmes norvégiennes.

En Indonésie, plus de 100 femmes chinoises violées pendant les émeutes qui ont précédé la chute du Président Suharto. Les violeurs ont dit : « vous devez être violées, parce que vous êtes chinoises et non Musulmanes »

La Solidarité Chrétienne internationale a rapporté qu'en avril 2005, une fillette pakistanaise de 9 ans a été violée, battue avec une batte de cricket, pendu au plafond par les pieds, menottée, a eu des cuillérées de piment versées dans la bouche et à maintes reprises frappées, par ses voisins musulmans. Ils lui ont dit qu'ils se vengeaient des bombardements américains sur les enfants irakiens et qu’ils le faisaient parce qu'elle était « infidèle et chrétienne ».

A la Cour suprême australienne en décembre 2005, un violeur pakistanais a déclaré que ses victimes n'avaient aucun droit de refuser étant donné qu'elles ne portaient pas le foulard islamique.

À Copenhague, le mufti et haut dignitaire islamique, Shahid Mehdi a suscité l'indignation, quand il a expliqué que les femmes qui ne portaient pas le foulard islamique demandaient à être violées.

En France, dans les banlieues, le viol collectif est maintenant connu simplement comme tournantes où les victimes savent que la police ne les protégera pas. Dans la plupart des poursuites françaises, les violeurs musulmans déclarent qu'ils ne croient pas qu'ils ont commis un crime.

À Malmö, la troisième plus grande ville en Suède, la police a admis qu'elle ne commande plus la ville. « Elle est efficacement dirigée par les troupes violentes d’ immigrés musulmans »

Partout dans le Monde, les musulmans sont en conflit avec leurs voisins. Mark Steyn a même déclaré récemment : « chaque conflit semble avoir pour origine une personne nommée Mohammed ».

Le nombre de viols commis par des hommes musulmans contre des femmes dans la dernière décennie est tellement haut qu'il ne peut pas être regardé autrement qu’un comportement culturellement implicite. Il est manifestement renforcé et encouragé par les chefs religieux musulmans qui blâment les victimes et excusent les violeurs.

Etc...
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