lundi, mai 29, 2006
Francis Chartrand lance une invitation ouverte aux progressistes du Québec - samedi le 27 mai 2006
Pendant des années, le Bloc a affirmé qu’il n’appuierait aucun budget fédéral à moins que celui-ci n’améliore le système d’assurance-emploi, qu’il contienne un financement significatif pour l’environnement, et qu’il prenne des mesures concrètes pour s’attaquer au soi-disant déséquilibre fiscal.
« Des correctifs majeurs doivent être apportés [au budget 2005] sur les plans du déséquilibre fiscal et du protocole de Kyoto. En plus, nous réclamons que soient mises en application les 28 recommandations émises par le Comité des ressources humaines sur le régime de l'assurance-emploi »
– Gilles Duceppe, Le Quotidien, 3 mars 2005
Il est évident maintenant que le Bloc Québécois n’attache plus beaucoup d’importance à ce principe, puisqu’il appuie le budget des conservateurs de Stephen Harper malgré le fait qu’il ne propose rien pour l’assurance-emploi, très peu pour l’environnement et ne fait que se pencher sur le déséquilibre fiscal sans offrir d’action concrète.
Bien que le Bloc Québécois ait abandonné sa tradition progressiste, il existe une alternative pour les électeurs et les électrices progressistes au Québec : Jack Layton et le NPD.
Nous invitons tous les Québécois et toutes les Québécoises progressistes qui se sentent abandonnés par la décision du Bloc Québécois d’appuyer le budget des conservateurs de Stephen Harper, à se joindre à nous pour développer une alternative. Car contrairement aux libéraux, le NPD est honnête, contrairement au Bloc Québécois, le NPD est réglé par des principes et contrairement aux conservateurs, le NPD est progressiste.
Les réductions d’impôt pour les grandes entreprises ne pourront pas créer des places en garderie - mardi le 2 mai 2006
« Ce budget ne créera pas plus d’espaces en garderie que le programme de crédit d’impôt mis en place en Ontario par Mike Harris, qui a été voué à l’échec. Pas un seul espace en garderie n’a été créé à l’époque. » a déclaré Layton. « Comment les Conservateurs peuvent ils dire qu’ils offrent un choix? Les parents ne peuvent pas choisir de mettre leur enfant en garderie si aucun espace n’est disponible. Et on ne peut pas créer d’espaces en garderie à moins d’être assurer que le financement sera stable et à long terme. » Il manque 3 milliards supplémentaires dans le budget pour l’établissement d’un vrai programme de garderie,
Il n’y a rien pour l’assurance emploi, à peu près rien pour la formation, et l’argent mis en place pour aider les familles à envoyer leurs enfants au collège que nous avons sécurisé l’an dernier n’a été transformé au niveau des infrastructures. Il y aura de nombreuses bibliothèques vides sur les campus à travers le pays. Les changements au programme de augmente la probabilité que les étudiants s’endettent encore davantage.
Après des années d’attentes pour les familles ordinaires pour des services promis et dont ils ont besoin, et toujours lors d’excédents budgétaires, les Conservateurs n’offrent rien aux familles ordinaires. Ils ne sont pas mieux que les Libéraux.
« Tout comme avec les Libéraux, nous pouvons constater un financement pour l’environnement, mais il n’y a aucun plan d’implémentation. Tout comme avec les Libéraux, il y a des grandes réductions d’impôt au lieu d’investissement pour l’énergie renouvelable, des programmes d’efficacité énergétique afin d’aider les gens à diminuer le coût de chauffage et un plan pour des autos écologiques.
Maintenant n’est pas le temps de réduire, mais plutôt d’investir. Après des années de promesses brisées, les familles ordinaires méritent de vrais investissements dans leurs priorités.
Lors du Discours du Trône, le NPD s’est assuré de voir inscrit comme engagement la création d’espaces en garderie, la diminution des gaz à effet de serre et le financement pour la formation et l’éducation. Ce budget aurait dû passer de la parole aux actes. Ce que nous voyons au contraire est de système fiscal pour les garderies qui ne fonctionnera pas, un chèque pour l’environnement sans plan, et des investissements qui auraient dû être là pour rendre l’éducation plus accessible, maintenant redirigés vers l’infrastructure
« Nous avons été très clairs sur ce que nous voulions voir au sein de ce budget : les priorités des familles ordinaires. Nous sommes très déçus de ne pas les voir.
Le discours de Jack Layton sur le rôle du Canada en Afghanistan - mercredi le 17 mai 2006
J’aimerais commencer en exprimant, au nom de tous les néo-démocrates, notre tristesse profonde en apprenant que la capitaine Nichola Goddard, affectée à Shilo au Manitoba, a perdu sa vie en servant notre pays en Afghanistan. Nos pensées et nos prières sont avec la famille de la capitaine Goddard, ses amis, et en fait avec tous les membres des Forces canadiennes qui servent notre pays chez nous et à l’étranger.
Monsieur le Président, les néo-démocrates s’opposent aux plans de ce gouvernement d’engager notre pays à faire la guerre en Afghanistan à long terme. Ce rôle ne reflète pas les principes et les idéaux du peuple canadien. Depuis presque cinquante ans, le Canada recherche la paix dans des nations partout au monde… et fait naître l’espoir là où des vies ont été déchirées par la guerre. Le canal de Suez, la Chypre, le Sinaï, l’ancienne Yougoslavie... il y a maints exemples de situations où le Canada a développé sa réputation comme pays qui maintient la paix et qui est respecté à l’échelle internationale.
Le Canada n’est pas une superpuissance, mais en tant que moyenne puissance, nous jouons dans la cour des grands depuis très longtemps. Notre contribution au monde sur le plan du maintien de la paix et de la protection du multilatéralisme par l’entremise des Nations Unies en est la preuve. Il faut que notre politique étrangère reflète la réalité : nous sommes un pays reconnu pour la recherche de la paix. Nous valorisons la communication, non pas l’occupation. Nous sommes un peuple qui prend au sérieux l’idéal de rapprocher les adversaires, non pas de brûler les ponts. Il ne faut pas que nous permettions que notre héritage de bons travaux vacille à l’ombre croissant de l’opération Enduring Freedom de l’administration du président Bush.
Il est bien trop commode de prétendre que chaque nouvelle mission est simplement un prolongement de la mission précédente. Ce que le gouvernement demande, ce n’est pas un prolongement. C’est un engagement à une nouvelle mission qui va durer jusqu’à la fin de la décennie.
Il y a des personnes dans cette Chambre, qui siègent des deux côtés, qui vont prétendre que si le Canada réoriente son énergie après quatre ans en Afghanistan, tout sera perdu. Il y a des personnes qui sont prêtes à voir le Canada pris en Afghanistan jusqu’à la fin de cette décennie, et au-delà. Selon elles, faire moins que cela, c’est se détourner du problème.
Mais la vérité, c’est que la contribution militaire du Canada a été considérable, étant donné nos capacités. Et l’Afghanistan est maintenant le plus grand récipient de l’aide canadienne au développement étranger. Le NPD appuie de tout cœur la continuation de ce financement. Et nous appuyons sans équivoque un rôle continu du Canada en Afghanistan au niveau du développement et de la diplomatie. Pourtant, le gouvernement essaie de forger un lien entre la guerre et l’aide dans cette motion, ce à quoi nous nous opposons.
Les néo-démocrates, en fait tous les Canadiens et toutes les Canadiennes, valorisent la place du Canada dans le monde : celle d’un pays qui a des principes, qui recherche la paix et non pas le conflit. C’est un rôle qui convient au Canada en Afghanistan, mais ce n’est pas le rôle limité que le gouvernement essaie d’imposer à notre pays par le biais de cette motion. Et il ne faut pas oublier qu’à cause des décisions unilatérales prises par ce premier ministre et par les libéraux qui l’ont précédé, le Canada est maintenant incapable de contribuer de façon appréciable au monde.
Monsieur le Président, malgré des débats durement gagnés et des mois de questions dans cette Chambre, ce gouvernement, tout comme l’ancien gouvernement libéral, refuse de répondre à nos questions : Quelle est la chaîne de commandement et de contrôle de cette mission? Quels sont les buts et les objectifs de cette mission, et est-ce qu’ils respectent les objectifs de la politique étrangère du Canada? Quelle est la définition de la réussite pour cette mission? Et quelle est notre stratégie de retraite?
Lorsque les conservateurs se trouvaient en opposition, ils ont posé ces questions légitimes et les libéraux n’y ont jamais répondu. Il y a quelques semaines à peine, les néo-démocrates ont posé ces mêmes questions et les conservateurs n’y ont pas répondu. Les Canadiens et les Canadiennes méritent des réponses.
Monsieur le Président, comme tout soldat vous dirait, « la reconnaissance n’est jamais une perte de temps ». Pourtant, ce gouvernement, tout comme l’ancien gouvernement libéral, ne s’intéresse pas à la diligence raisonnable. Il s’intéresse simplement à créer l’impression trompeuse que tout le monde dans cette Chambre soutient cette mission.
Monsieur le Président, les néo-démocrates n’ont pas émis une formule de chèque pour que ce gouvernement - ou n’importe quel gouvernement - entraîne le Canada encore plus loin dans la guerre, pour qu’il nous éloigne de notre rôle de Casque bleue sur l’échelle internationale.
Le premier ministre et son gouvernement ont le droit de bander les yeux des député(e)s dans cette Chambre, de nous lier les mains, et de procéder avec ce simulacre de débat, mais les Canadiens et les Canadiennes ne seront pas aveuglé(e)s. Malgré votre intimidation, nous n’accepterons pas l’inacceptable.
Monsieur le Président, maintes fois, je me suis levé et j’ai demandé directement au premier ministre d’informer les Canadiens et les Canadiens de notre rôle en Afghanistan. Et maintes fois, ce premier ministre s’est levé et a refusé de répondre à ces questions de base. Le premier ministre a plutôt déclaré sans équivoque que si nous remettions en question la mission, nous étions contre nos troupes. Mais Monsieur le Président, je veux m’exprimer très clairement : les Canadiens et les Canadiennes ne se laisseront pas persuader par la ruse que le premier ministre essaie de créer avec ses slogans empruntés.
Nous serions indignes de la démocratie que nos jeunes militaires défendent avec leur vie si ce gouvernement confondait le chauvinisme avec le patriotisme. Nous ne prendrons pas de la graine du gouvernement en ce qui concerne l’appui pour nos hommes et femmes militaires.
Je tiens à vous rappeler que l’année passée, les conservateurs se sont abstenus plutôt que de voter pour un budget qui investissait 13,5 milliards de dollars dans les Forces canadiennes : un budget qui investissait 8,2 milliards de dollars de plus que le budget déposé par les conservateurs ce printemps. Les néo-démocrates, non pas les conservateurs, ont voté pour ce budget afin de nous assurer que nos troupes recevront l’équipement et la formation dont ils ont besoin. C’est comme ça que notre parti manifeste son soutien pour nos troupes.
Cette semaine, le député de Sackville-Eastern Shore s’est levé et a demandé pourquoi, après 14 ans, ce gouvernement continue à priver de prestations la veuve d’un soldat qui a perdu sa vie dans l’exercice de ses fonctions, et pourquoi ce gouvernement continue à laisser des avocats se battre dans le but de priver cette famille du soutien qu’elle mérite. C’est comme ça que ce gouvernement manifeste son soutien pour nos troupes.
Monsieur le Président, si nous demandons à ce pays de continuer à faire la guerre, il faudrait que chaque citoyen et citoyenne au Canada comprenne tous les faits. Nous troupes méritent de savoir ce qu’on leur demande de faire…les familles méritent de savoir ce qu’on demande à leurs fils et à leurs filles.
Monsieur le Président, s’il y a un aspect de notre discours public qui doit absolument être débarrassé de toute proclamation partisane, c’est notre politique étrangère. C’est quand nous décidons des missions de nos troupes, en leur demandant de défendre nos valeurs - et peut-être même de donner leur vie. C’est le devoir de chaque membre de cette Chambre de poser des questions difficiles, et c’est le devoir du gouvernement d’y répondre.
Il y a un grand débat au sein des pays de l’OTAN, tels la Grande-Bretagne et les Pays-Bas, au sujet de missions futures en Afghanistan, mais au Canada, le gouvernement essaie de faire adopter une motion à la hâte, sans laisser de la place pour des amendements, ni pour la transparence. Ce gouvernement n’a pas envie d’un débat, mais plutôt de l’approbation désinvolte de cette Chambre pour engager les Forces canadiennes à une nouvelle mission.
Monsieur le Président, ce n’est pas dans l’intérêt des Canadiens et des Canadiennes de permettre aveuglément que notre pays soit pris en Afghanistan à long terme. Les néo-démocrates s’opposeront à cette motion parce que nous croyons que la mission, telle que définie par ce gouvernement, ne correspond pas aux valeurs et aux principes du peuple canadien. Ce n’est pas un rôle qui respecte les objectifs de la politique étrangère canadienne.
Monsieur le Président, les néo-démocrates ont demandé ce débat et ce vote, et nous sommes très heureux d’avoir l’occasion de nous lever et de défendre la place du Canada dans le monde. Je demande aux députés et aux députées de cette Chambre d’unir leur voix à la nôtre. Il faut que notre pays montre la voie. Soyons un leader, pas un suiveur. Il faut emprunter notre propre chemin dans ce monde, un chemin qui va de l’avant en s’appuyant sur nos forces, et qui reflète de façon globale les valeurs et les principes de recherche de la paix qui définissent notre pays. Merci.
lundi, mai 22, 2006
Extraits médiatiques d'après campagne - printemps 2006
Relation sexuelle à l'âge de 16 ans
Le NPD de Rivière-des-Mille-Îles s'élève contre le projet de loi C-127
D’ après les médias et les hauts fonctionnaires chez les Conservateurs, l’ hyper sexualisation chez les jeunes donne comme résultat de multiples problèmes qui occupent notre société. Le projet de loi C-127 de l’honorable Vic Toews, ministre de la Justice et procureur général du Canada, qui consiste à augmenter l’âge du consentement pour avoir une relation sexuelle de 14 à 16 ans, serait-il la solution aux problèmes, sois disant nuisibles ? Personnellement, Annie-Jöelle Constantin-Lortie, présidente des Jeunes Néo-démocrates de la Polyvalente Deux-Montagnes, ainsi que Raphaëlle Dubois-Beauchamps, présidente des Jeunes Néo-démocrates de Rivière-des-Mille-Îles, croient que cette loi serait tout simplement inutile sous un angle et nuisible d’un autre.
Si M. Harper et M. Toews puissent lire entre les lignes, ils devraient constater le désaccord des néo-démocrates de la région envers cette loi voulant être appliquée dans la vie future ainsi que la majorité des opinions démontrés par certains conservateurs depuis plus d’un mois, afin d’éclairer la population sur leur prise de position et leur point de vue sur la criminalité sexuelle et l’épanouissement de la maturité chez les jeunes si on applique le projet de loi C-127.
Quelques hauts fonctionnaires ont cité la loi C-127 en rapport avec la criminalité. Pensent-ils vraiment que les agressions sexuelles et crimes à nature sexuelle seraient réduis à cause d’une hausse de deux ans ? Les prédateurs sexuels ne se préoccuperaient certainement pas plus de l’âge de leurs victimes car leur but est d’avoir une relation sexuelle avec celles-ci. Ces crimes se dérouleraient sûrement encore non sous les feux des projecteurs malgré la loi imposée par les conservateurs.
Majoritairement, les jeunes ne tiennent souvent pas compte des limites, c’est-à-dire que la plupart des lois sont bafouées. D’autre part, l’exploitation sexuelle que vivent certains jeunes, reste un fléau dont aucune loi ne peut l’anéantir à l’exception de la prévention à long terme ainsi que de la sensibilisation autant auprès des parents qu’auprès des jeunes. D’autres prendront conscience et d’autre non, ce même si la loi existerait, de même que si on applique la loi C-127. Les néo-démocrates de Rivière-des-Mille-Îles croient qu’elle serait bien plus inutile ou tout simplement ignorée.
Le consentement sexuel reste à part entière pour bon nombre de citoyens, une décision personnelle. L’adolescent étant plus jeune que 14 ans qui met un terme à la transition entre l’enfance et l’adolescence, pour la plupart, ne possède pas encore la maturité requise pour s’engager dans une telle expérience. Mais d’ailleurs, après 14 ans ils devraient avoir la liberté de pratiquer l’expérience car, grâce au contact à l’éducation, l’autonomie et la maturité une fois évoluée, ils savent dans quoi ils s’embarqueraient.
Annie-Jöelle Constantin-Lortie et Raphaëlle Dubois-Beauchamps, toutes deux étudiantes à la Polyvalente Deux-Montagnes, ont l’appui total de Francis Chartrand, candidat du NPD de la dernière élection fédérale dans Rivière-des-Mille-Îles, dont ce dernier fut intervenant et travailleur de rue au Café de la Paix, à Saint-Eustache. Il veut rappeler qu’il faut éclairer les jeunes en toute honnêteté et toute sagesse pour qu’ils puissent s’épanouir dans leur vie. Hausser l’âge du consentement ne fera que de lancer un message aux jeunes de nature très autoritaire avec une projection comme quoi ils seraient <
Nous invitons tous les organismes communautaires de la région ainsi que les citoyens avec intérêt ou questions de nous contacter au (450)-473-2423 ou par courriel à
L'Éveil - 22 avril 2006
Le NPD de Rivière-des-Mille-Îles dresse son bilan
Lors du dernier Parlement, les néo-démocrates ont livrés la marchandise. Nous avons forcé les Libéraux à annuler une réduction d’impôt pour les grandes entreprises. Une réduction de 4,6 milliards de dollars pour ceux qui n’en avaient pas besoin. Et nous avons pris cet argent, et nous l’avons investi pour les besoins des gens.
Le NPD fait passer Les Gens d’abord. Parce que les familles méritent d’avoir accès à des places de garderies, et leurs enfants une éducation abordable. Et ces familles méritent un système de santé de qualité quand ils en ont besoin.
Les progrès récents sont des progrès permanents. C’est notre engagement. Notre coopération dans ce parlement ne se fera pas au détriment de notre système public de santé. Les succès de ce parlement ne seront pas fait au coût des droits à l’égalité que nous avons acquis.
Lors de la dernière élection, plus de 20 800 citoyens ont voté pour le NPD dans les Basses-Laurentides, et nous allons continuer a représenter leurs intérêts vis-à-vis nos honorables députées de la région. Il se fait trop longtemps qu’il y a un manque de représentativité de leur part. Désormais, il est temps qu’il y a du nouveau sang dans notre politique régionale.
Au cours des dernières semaines, nous avons rencontré Jack Layton et nous lui avons confié les intérêts des citoyens des Basses-Laurentides lors du Congrès NPD à Trois-Rivières. Nous avons officiellement appuyé les démarches du Groupe SOS Orford, et nous continuons de promouvoir la bataille contre la pauvreté dans notre région.
Nous invitons tous les organismes communautaires de la région ainsi que les citoyens avec intérêt ou questions de nous contacter au (450)-473-2423 ou par courriel à npd_rdmi@hotmail.com.
samedi, mai 20, 2006
Extraits médiatiques de campagne - hiver 2006
Francis Chartrand invite les jeunes à participer à la vie démocratique
Dany Cloutier
Deux des cinq candidats engagés dans la course aux élections fédérales dans Rivière-des-Mille-Îles ont répondu à l’appel du Forum jeunesse et sont venus rencontrer des jeunes de Saint-Eustache, mercredi dernier, Francis Chartrand, du Nouveau Parti démocratique (NPD) est l’un d’eux. Représentant politique par excellence de la gauche, il a ainsi pu exprimer pleinement ses aspirations pour le Québec et le Canada. Du même coup, il a incité les jeunes à faire valoir leurs points de vue.
Natif de Deux-Montagnes, le jeune homme de 23 ans a milité contre la pauvreté au sein d’organisations et d’associations étudiantes de la Rive-Nord. Il milite pour la sauvegarde de certains boisés, notamment à Deux-Montagnes et à Boisbriand, de même que pour la protection de l’écosystème de la rivière des Mille Îles. Partisan du NPD depuis un an, il a choisi d’entrer dans la course tout juste avant les vacances des fêtes. Se définissant comme «plus à gauche» et «social-démocrate», il dit vouloir défendre les besoins fondamentaux de la population. «À Saint-Eustache et dans les environs, environ 250 à 300 jeunes vivent dans la rue», dit celui qui veut soutenir la construction de quelque 1000 logements sociaux dans la région. D’ailleurs, il a profité de la tribune qui lui était offerte pour inviter jeunes et moins jeunes à se joindre à une marche contre la pauvreté qui aura lieu la veille du scrutin, dimanche, et qui partira de l’hôtel de ville de Deux-Montagnes pour se terminer au Café de la paix, à Saint-Eustache.
En réponse à une question des jeunes sur les enjeux locaux de la campagne, M. Chartrand a fait valoir l’importance d’accentuer le transport en commun, dans l’optique de satisfaire aux exigences de l’accord de Kyoto sur l’émission des gaz à effet de serre. Il fait la promotion d’un projet de métrobus entre Boisbriand et le nouveau métro de Laval. Position pour le moins surprenante, il prend aussi fait et cause pour un projet de développement d’énergie éolienne dans la région, à tout le moins dans le secteur de Mirabel.
À quoi ressemble la vie d’un candidat du NPD dans Rivière-des-Mille-Îles? Francis Chartrand paraît d’emblée épuisé par une campagne et des obligations professionnelles nombreuses. Il n’a pas de grosse machine derrière lui, pas non plus de local électoral, mais est «sur le piton» dès 4 heures ou 5 heures du matin. Avec l’aide d’une poignée de bénévoles, il organise sa journée qui, surtout ces jours-ci, est synonyme de nombreux appels téléphoniques. L’expérience n’en est pas moins enrichissante, et il suggère aux jeunes de tenter eux aussi l’expérience, en conseillant toutefois d’avoir une bonne préparation.
Bien au courant du scandale des commandites, qui est omniprésent dans la campagne fédérale actuelle, les jeunes ont voulu savoir les réactions du candidat du NPD, qui ne s’est pas gêné pour répondre: «Pendant que vos parents travaillent pour mettre du pain sur votre table, des amis des libéraux se sont mis de l’argent dans les poches. On demande plus d’éthique et de transparence», a-t-il dit, affirmant l’importance, pour chaque citoyen, de participer plus activement à la vie politique, à tous les points de vue.
La Voix des Mille-Îles - 18 janvier 2006
Éoliennes, santé, environnement et pauvreté au menu pour le NPD
Valérie Schmaltz
Six candidats du Nouveau Parti démocratique (NPD) et représentant les Laurentides se sont réunis un peu plus tôt la semaine dernière pour afficher différents projets touchant à leur région. Parmi ceux-ci, Alain Sénécal, d’Argenteuil-Papineau-Mirabel, Francis Chartrand, de Rivière-des-Mille-Îles, et Michel Le Clair, de Terrebonne-Blainville.
Fervents militants, les candidats en lice aux élections fédérales du 23 janvier prochain ont profité de cette tribune publique pour se présenter et surtout pour faire le bilan de cette campagne qui s’annonce annonciatrice de grands changements.
«Nous n’avons pas goûté au pouvoir assez longtemps pour être corrompus», a fait savoir d’entrée de jeu le candidat Michel Le Clair. Communiqué en main, ce dernier a annoncé les changements recommandés par son parti un peu plus tôt dans la journée, tels que l’amélioration du système de santé, l’équilibre des budgets, l’autonomie des aînés, les places en garderie et l’instauration d’un régime national de médicaments.
Pour ce qui est de Francis Chartrand, son expérience de travailleur de rue lui a permis de constater combien la pauvreté et l’itinérance étaient omniprésentes dans la région.
«Nous devons intervenir rapidement, car la pauvreté touche les gens de tous les âges. On recense entre 200 et 250 jeunes qui vivent dans la rue à Saint-Eustache et c’est énorme! Je m’engage à mettre sur pied un plan de remise sur pied juvénile pour contrer cette triste problématique», a souligné le candidat de 23 ans.
Quant à Alain Sénécal, candidat d’Argenteuil-Papineau-Mirabel, son discours a pris une tangente environnementale lorsqu’il a fait l’annonce que son parti désirait fonder une société d’État en énergie renouvelable et verte.
«Depuis la fermeture de l’aéroport de Mirabel, aucun projet novateur n’a été présenté. Notre motivation demeure la création d’un centre de recherche qui trouverait racine dans les installations mêmes de l’aéroport», a expliqué ce dernier. «Il faut agir! Pas seulement désirer vouloir changer les choses. Même chose du côté des agriculteurs de Mirabel envers qui le NPD s’engage à leur redonner les terres qui leur ont été volées».
Facteur éolien
«Une firme est venue étudier le facteur éolien à Mirabel et d’après les résultats obtenus, cette dernière affiche un taux supérieur à la moyenne. Nous désirons que l’énergie éolienne fasse son entrée sur un territoire qui est prêt à l’accueillir», rappelle Francis Chartrand.
Appuyant les propos de son compagnon de campagne, Alain Sénécal n’a pu toutefois fournir des chiffres entourant pareil investissement.
«Je n’ai pas les chiffres avec moi, mais je peux vous les faire parvenir», a-t-il promis.
Santé
Si le NPD désire retarder le temps d’attente dans les urgences, la restauration de la médecine à domicile pourrait devenir une alternative à cette préoccupation chronique.
«Je vous rappelle que le système de santé public a été instauré par le fondateur du NPD. Ce n’est certainement pas une idée des libéraux», a indiqué un partisan dans la salle.
Même si le NPD n’est pas aussi fort que certains partis, on a tenu à rappeler que ce dernier bâtissait «l’alternative».
«Ayez l’audace de faire ce que vous n’avez jamais osé faire. Votez NPD!», a lancé Alain Sénécal en déclenchant une salve d’applaudissements dans la salle.
La Voix des Mille-Îles - 18 janvier 2006
Francis Chartrand dévoile ses engagements dans Rivière-des-Mille-Îles
Valérie Schmaltz
Candidat du Nouveau Parti démocratique (NPD) dans la circonscription électorale de Rivière-des-Mille-Îles, Francis Chartrand a dévoilé, dans un court communiqué envoyé à nos bureaux, ses engagements en vue des élections fédérales du 23 janvier prochain.
Né à Deux-Montagnes et diplômé en sciences humaines, profil politique et social, du cégep Bois-de-Boulogne, le candidat âgé de 23 ans souhaite pour sa région une augmentation substantielle de nouveaux médecins au Centre hospitalier Saint-Eustache et le «développement d’un système de santé public où les citoyens ont à payer et à se mettre en dette».
Aussi, le candidat néo-démocrate aspire à mettre de la pression sur le gouvernement fédéral afin de financer la construction de 1 000 nouveaux logements sociaux dans les Basses-Laurentides dans le but, dit-il, de contrer l'appauvrissement de la population.
Quant aux autres promesses du candidat, ce dernier désire promouvoir l'accessibilité au transport en commun en gelant les prix des circuits locaux entre Saint-Eustache et Pointe-Calumet et du train de banlieue entre Montréal et Deux-Montagnes. Il vise également une consultation auprès de la population locale afin de compléter l'étude de faisabilité pour mettre en place une ligne d’autobus express entre Boisbriand et la future station de métro Montmorency, à Laval.
Parmi les autres engagements du candidat, on note la préservation de la rivière des Mille îles afin de la déclarer zone protégée et salubre, de même que la protection des boisés de Deux-Montagnes (situés près de la gare) et de Boisbriand (parc René-Lévesque) pour contrer l'expansion immobilière.
Avec en avant-plan une consultation publique et un suivi auprès de la population, Francis Chartrand propose l'installation d'hélices éoliennes dans les environs de Saint-Eustache et Sainte-Marthe-sur-le-Lac.
Nord-Info - 14 janvier 2006
Les candidats du NPD posent les vraies questions
Valérie Maynard
Quelque part, entre le vote de protestation et le vote de conviction, il y a le vote par habitude. Les gens qui votent rouge ou bleu par tradition. Puis il y a ceux qui votent pour le Bloc québécois. Les candidats des Laurentides du NPD, nommément, Alain Senécal, dans Argenteuil-Papineau-Mirabel, Michel Le Clair, dans Terrebonne-Blainville, et Francis Chartrand, dans Rivière-des-Mille-Îles, ont uni leur voix pour affirmer que voter pour le Bloc constitue une grosse erreur.
Selon eux, avant d’aller voter, l’électeur avisé devrait poser les vraies questions aux représentants du Bloc québécois. Des questions telles: «Est-ce que le Bloc reconnaîtrait que les amendements néo-démocrates au budget du printemps 2005 ont contribué à s’attaquer au déséquilibre fiscal? Comment le Québec s’affranchirait-il par la souveraineté alors que, parallèlement, le Bloc fait la promotion de l’adoption du dollar américain et l’intégration économique avec les États-Unis? Est-ce que le Bloc accepterait l’inclusion d’un principe de non-privatisation (exclure le financement public de services privés) au sein de la Loi canadienne de la santé? Est-ce que le Bloc serait en faveur d’une réforme électorale dans le sens de la représentation proportionnelle? Le Parti québécois et le Bloc seraient-ils prêts à dire que les valeurs sociales-démocrates passent avant la souveraineté?»
Car si le Bloc était vraiment un parti de gauche, estiment les candidats du NPD, il n’accepterait pas de travailler seul. Si le Bloc était vraiment un parti voué à la défense des intérêts des Québécois, il ne sacrifierait pas la social-démocratie sur l’autel de la souveraineté en coupant les liens économiques et symboliques avec le Canada. De leur avis, si le Bloc était vraiment un parti de gauche, il refuserait catégoriquement le développement d’un système de soins à deux vitesses.
Si le Bloc était vraiment un parti de gauche, il serait le premier à défendre une représentation proportionnelle du vote. Or, font remarquer les candidats du NPD, si l’on appliquait une telle réforme, la présence du Bloc en Chambre diminuerait de 53 députés à environ 38. Ce qui leur fait dire que les députés bloquistes peuvent en théorie appuyer la réforme, mais ils n’en feront jamais la promotion.
Les candidats du NPD croient fermement que seul le NPD a démontré un intérêt réel et non partisan à défendre les intérêts du Québec au cours du dernier mandat, en empêchant notamment le gouvernement libéral, au printemps dernier, de procéder à des coupures d’impôts de l’ordre de 5 milliards de dollars et en l’obligeant à investir cet argent dans les services aux citoyens, dont 1 milliard est allé directement dans les coffres du Québec.
«Le NPD est le seul parti à reconnaître la nation québécoise. Il a toujours défendu et défendra toujours les champs de compétence propres aux provinces et exigera toujours plus de transferts de la part d’Ottawa vers les provinces. Le NPD est le parti le mieux placé pour continuer à défendre les intérêts du Québec dans le prochain gouvernement», ont unanimement conclu les candidats du NPD.
L'Éveil - 14 janvier 2006
Éoliennes, santé, environnement et pauvreté au menu pour le NPD
Valérie Schmaltz
Six candidats du Nouveau Parti démocratique (NPD) et représentant les Laurentides se sont réunis un peu plus tôt cette semaine pour afficher différents projets touchant à leur région. Parmi ceux-ci, Alain Sénécal, d’Argenteuil-Papineau-Mirabel, Francis Chartrand, de Rivière-des-Mille-Îles, et Michel Le Clair, de Terrebonne-Blainville .
Fervents militants, les candidats en lice aux élections fédérales du 23 janvier prochain ont profité de cette tribune publique pour se présenter et surtout pour faire le bilan de cette campagne qui s’annonce annonciatrice de grands changements.
«Nous n’avons pas goûté au pouvoir assez longtemps pour être corrompus», a fait savoir d’entrée de jeu le candidat Michel Le Clair. Communiqué en main, ce dernier a annoncé les changements recommandés par son parti un peu plus tôt dans la journée, tels que l’amélioration du système de santé, l’équilibre des budgets, l’autonomie des aînés, les places en garderie et l’instauration d’un régime national de médicaments.
Pour ce qui est de Francis Chartrand, son expérience de travailleur de rue lui a permis de constater combien la pauvreté et l’itinérance étaient omniprésentes dans la région.
«Nous devons intervenir rapidement, car la pauvreté touche les gens de tous les âges. On recense entre 200 et 250 jeunes qui vivent dans la rue à Saint-Eustache et c’est énorme! Je m’engage à mettre sur pied un plan de remise sur pied juvénile pour contrer cette triste problématique», a souligné le candidat de 23 ans.
Quant à Alain Sénécal, candidat d’Argenteuil-Papineau-Mirabel, son discours a pris une tangente environnementale lorsqu’il a fait l’annonce que son parti désirait fonder une société d’État en énergie renouvelable et verte.
«Depuis la fermeture de l’aéroport de Mirabel, aucun projet novateur n’a été présenté. Notre motivation demeure la création d’un centre de recherche qui trouverait racine dans les installations mêmes de l’aéroport», a expliqué ce dernier. «Il faut agir! Pas seulement désirer vouloir changer les choses. Même chose du côté des agriculteurs de Mirabel envers qui le NPD s’engage à leur redonner les terres qui leur ont été volées».
Facteur éolien
«Une firme est venue étudier le facteur éolien à Mirabel et d’après les résultats obtenus, cette dernière affiche un taux supérieur à la moyenne. Nous désirons que l’énergie éolienne fasse son entrée sur un territoire qui est prêt à l’accueillir», rappelle Francis Chartrand.
Appuyant les propos de son compagnon de campagne, Alain Sénécal n’a pu toutefois fournir des chiffres entourant pareil investissement.
«Je n’ai pas les chiffres avec moi, mais je peux vous les faire parvenir», a-t-il promis.
Santé
Si le NPD désire retarder le temps d’attente dans les urgences, la restauration de la médecine à domicile pourrait devenir une alternative à cette préoccupation chronique.
«Je vous rappelle que le système de santé public a été instauré par le fondateur du NPD. Ce n’est certainement pas une idée des libéraux», a indiqué un partisan dans la salle.
Même si le NPD n’est pas aussi fort que certains partis, on a tenu à rappeler que ce dernier bâtissait «l’alternative».
«Ayez l’audace de faire ce que vous n’avez jamais osé faire. Votez NPD!», a lancé Alain Sénécal en déclenchant une salve d’applaudissements dans la salle.
L'Éveil - 14 janvier 2006
Une marche contre la pauvreté
Benoit Bilodeau
Candidat du Nouveau Parti démocratique (NPD) dans la circonscription électorale de Rivière-des-Mille-Îles, Francis Chartrand organise pour le dimanche 22 janvier, veille de jour d’élection fédérale, une marche contre la pauvreté.
Cette marche débutera à compter de 14 h, à la Place des bénévoles, située chemin d’Oka, tout à côté de l’hôtel de ville de Deux-Montagnes. À partir de là, les participants seront invités à se rendre jusqu’au bureau de circonscription du député bloquiste Gilles-A. Perron, à Saint-Eustache, puis, pour terminer, au Café de la paix, toujours à Saint-Eustache.
«Nous allons nous rendre au bureau du député parce qu’au cours de cette campagne, M. Perron a mentionné qu’il ferait de la pauvreté sa priorité au cours de son prochain mandat. Nous voulons être certains qu’il va garder ses promesses», a expliqué, dans un communiqué de presse, le candidat néo-démocrate, précisant vouloir faire de la pauvreté l’un des enjeux majeurs de la présente campagne électorale. «En 2000, 13 974 personnes vivaient sous le seuil de la pauvreté dans notre région. Cela représente beaucoup de familles qui se retrouvent en piètre situation», a-t-il ajouté.
Le candidat du NPD a rappelé qu’il a déjà travaillé au Café de la paix, à Saint-Eustache, où il dit avoir été frappé de constater à quel point les jeunes étaient touchés par la pauvreté. «Ce qui était encore plus désolant, précise-t-il, c’est de voir ces jeunes vivre dans la rue, malgré le fait que notre région soit considérée de classe moyenne, ici même au Canada.»
En plus de l’élimination de la pauvreté, Francis Chartrand propose d’offrir aux travailleurs sans emploi plus d’occasions de réintégrer le marché du travail. Il suggère également de supprimer la taxe sur les produits et services (TPS) sur les produits de base pour les familles canadiennes et d’investir davantage dans la promotion de 1 000 logements à faible revenu dans les Basses-Laurentides.
«Un vote pour le NPD n’est pas peine perdue. Cela va permettre à notre parti d’être vigilant face à la pauvreté, peu importe qui nous représente à Ottawa», de conclure le candidat du NPD dans Rivière-des-Mille-Îles.
L'Éveil - 7 janvier 2006
Francis Chartrand dévoile ses engagements dans Rivière-des-Mille-Îles
Valérie Schmaltz
Candidat du Nouveau Parti démocratique (NPD) dans la circonscription électorale de Rivière-des-Mille-Îles, Francis Chartrand a dévoilé, dans un court communiqué envoyé à nos bureaux, ses engagements en vue des élections fédérales du 23 janvier prochain.
Né à Deux-Montagnes et diplômé en sciences humaines, profil politique et social, du cégep Bois-de-Boulogne, le candidat âgé de 23 ans souhaite pour sa région une augmentation substantielle de nouveaux médecins au Centre hospitalier Saint-Eustache et le «développement d’un système de santé public où les citoyens ont à payer et à se mettre en dette».
Aussi, le candidat néo-démocrate aspire à mettre de la pression sur le gouvernement fédéral afin de financer la construction de 1 000 nouveaux logements sociaux dans les Basses-Laurentides dans le but, dit-il, de contrer l'appauvrissement de la population.
Quant aux autres promesses du candidat, ce dernier désire promouvoir l'accessibilité au transport en commun en gelant les prix des circuits locaux entre Saint-Eustache et Pointe-Calumet et du train de banlieue entre Montréal et Deux-Montagnes. Il vise également une consultation auprès de la population locale afin de compléter l'étude de faisabilité pour mettre en place une ligne d’autobus express entre Boisbriand et la future station de métro Montmorency, à Laval.
Parmi les autres engagements du candidat, on note la préservation de la rivière des Mille îles afin de la déclarer zone protégée et salubre, de même que la protection des boisés de Deux-Montagnes (situés près de la gare) et de Boisbriand (parc René-Lévesque) pour contrer l'expansion immobilière.
Avec en avant-plan une consultation publique et un suivi auprès de la population, Francis Chartrand propose l'installation d'hélices éoliennes dans les environs de Saint-Eustache et Sainte-Marthe-sur-le-Lac.
vendredi, mai 19, 2006
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