lundi, mai 31, 2010

 

Le bien-être, par Tania Tokarski


Le bien-être. Il se traduit par plusieurs facteurs. Il faut répondre aux besoins physiques, tels que ; manger, dormir, boire, faire caca (hihi, j’ai repris cette joke de vous, professeur.) Ensuite, on atteint le second palier qui est…

Oh, et puis zut! Je vais vous parler encore de l’amour. C’est pour ça que j’ai commencé avec le bien-être. Amour réciproque = bonheur, n’est-ce pas? Et bien moi, je suis heureuse. Vous faites le lien?

Son nom est Francis.

Il s’intéresse à la politique, à l’histoire. Il donne des cours aux enfants. Il a toujours quelque chose d’intéressant à dire. Il a une opinion très arrêté et n’a pas la langue dans sa poche, ce qui lui a valu bien des problèmes, qui persistent encore aujourd’hui. J’essaie de le conseiller du mieux que je peux. Ça m’aide à me sentir plus utile. C’est un homme dont les problèmes découlent en partie de sa trop grande bouche, mais peut-être surtout de son manque d’intérêt pour son allure personnelle. Les conseils que je lui prodigue haussera son image sociale, j’en suis sure. La première impression est souvent importante lorsqu’on fait une entrevue ou qu’on fait connaissance avec un étranger. C’est ce que je suis parvenue à lui faire comprendre. De son côté, il m’apprend à être moins sensible. Il m’épaule aussi dans les moments difficiles. Lorsque je vivais des problèmes amoureux, il me conseillait avec gentillesse. Il ne donnait pas le genre de phrases négatives dont le but était de me faire me désintéresser de la personne que je convoitais pour ne voir que mon interlocuteur. Il ne cherchait pas vraiment à me rendre amoureuse. Il voulait avant tout mon bien-être, et me conseillait vers ce but.

Je l’adore. J’ai beaucoup d’espoir en lui. Nous cherchons tous deux à rendre notre société meilleure, par le biais de l’intervention, bien sûr. Non seulement notre carrière est un projet que nous avons en commun, mais nous désirons aussi avoir des enfants un jour.

Je t’aime, Francis.

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L'amour, par Tania Tokarski


Bon, cette semaine, j’ai encore envie de me défouler alors, allons-y, puisque ça me fait du bien. Le sujet, cette fois ci, est l’amour.

L’amour. *soupir* C’est si beau. On en fait des chansons, on en fait des poèmes (ce qui revient un peu au même puisque dans les chansons, y’a de la poésie. D’uh!) On en fait aussi beaucoup d’autres choses; des livres, des téléromans, on en retrouve dans les films d’aventure. D’ailleurs, je ne sais pas si c’est Léonard de Vinci lui-même qui avait dit «Une vie sans amour, ce n’est pas une vie.» Ouch! Si on n’est pas aimé, bonjour le suicide. Cela dit, je connais des amis pour qui le manque d’amour à causer des ravages dans leur vie. Je vais élaborer dans le paragraphe qui suit.

Moi, ma vie n’a pas été facile, mais comme je l’ai découvert, on peut dire de même de la vie de la plupart des gens. Mon principal problème à moi a été mon intégration dans le milieu scolaire. À la maternelle, j’étais une enfant sociable, mais timide. J’aimais être avec les autres enfants, mais je n’avais probablement pas la bonne technique pour les approcher. Ce fait a perduré pendant tout mon secondaire, avec ses complications. Une personne qui à de la misère à se faire des amis sera seule, seule elle sera plus vulnérable. Et les ados s’attaquent aux enfants vulnérables. Tout mon secondaire j’ai été ridiculisée. J’avais peur d’aller à l’école, on me lançait de la nourriture, et quand je me défendais et me fâchais, cela ne faisait qu’empirer les choses; j’avais l’air toute ridicule à m’emporter en bégayant contre plusieurs ados agile des babines. Résultat : je me repliai sur moi-même. J’avais peur de dire mon mot. J’avais peur d’être remarquée. Dans la vie, j’en venais à croire que je n’aurais jamais d’amis, étant probablement socialement inapte dans un monde qui ne voulait pas de moi. Cette pensée a changée quand je connues l’amour. Une personne me remarqua. Une amie d’abord, faite en secondaire 2. Elle aimait les jeux vidéo, elle aussi. Ensuite, un garçon, qui me plu beaucoup et à qui je plu aussi, secrètement, au fil du temps. L’amour, son acquisition et sa recherche ont toujours fait vibrer quelque chose en moi. Et c’est ça qui me tient animée. Mais il n’en a pas été de même pour tout le monde.

Mon autre ami, dont je ne nommerai pas le nom ici, a eut une vie peut-être plus dure encore que la mienne. Enfant non désiré, il a cherché l’amour et l’approbation de son père. En vain. Ceci à causé des ravages sur son approche face à l’amour. L’amour qu’il cherchait et qui lui causait tant de mal par son absence, a fait de lui un être qui a appris à vivre sans. On dit que nous ne pouvons donner ce que nous n’avons pas reçu. Et bien, malgré ses efforts, sa petite amie n’a pu recevoir ce qu’elle était prête à lui donner.

Elle avait entendue que les maux du cœur ne pouvaient être guéris que par l’intervention d’un autre. Par l’amour qu’un être donne et reçois. Sachant que l’amour avait fait un bien fou pour son estime, cette fille tenta d’en donner et d’en recevoir de son ami. Mais en vain. Cependant, elle demeura sûre d’être parvenue à ouvrir une petite fenêtre pour qu’une autre (ou elle-même) essaie à nouveau de guérir ce jeune homme, un jour, lorsqu’il serait prêt. Espérons qu’il acceptera de faire confiance à cette personne et qu’elle ne le détruira pas.

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vendredi, mai 21, 2010

 

Des images de l'Islande

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dimanche, mai 09, 2010

 

Le gouvernement propose d'ajouter 30 députés


Le gouvernement conservateur de Stephen Harper a déposé jeudi un projet de loi qui entraînerait l'ajout de 30 sièges à la Chambre des communes.

Le but du projet est d'assurer une représentation plus équitable des provinces qui ont connu, ces dernières années, une forte croissance démographique, a expliqué Steven Fletcher, le ministre de la Réforme démocratique.

L'Ontario obtiendrait donc 18 nouveaux députés fédéraux, tandis que la Colombie-Britannique en aurait 7 et l'Alberta, 5.

Quant aux autres provinces, elles conserveraient le nombre de sièges qu'elles détiennent actuellement. Le Québec est, par conséquent, assuré de garder ses 75 députés fédéraux.

« Le projet de loi garantit également au Québec et à l'ensemble des autres provinces le nombre actuel de sièges qu'elles détiennent, même si leur population ne le justifie pas », a précisé jeudi Steven Blaney, le député conservateur de Lévis-Bellechasse.

Reste que si ce projet est adopté, le nombre total de sièges passera de 308 à 338. Le poids relatif des provinces dont le nombre de sièges n'a pas augmenté diminuera donc mécaniquement : avec 75 sièges sur 338, la voix politique du Québec sera plus faible qu'avec 75 sièges sur 308.

La seule façon pour la province de reprendre du poids politique à la Chambre des communes serait de prendre du poids démographique grâce à une augmentation de la natalité ou de l'immigration, comme l'a laissé entendre Steven Blaney.

Le Bloc québécois a dénoncé la nouvelle tentative du gouvernement de modifier la composition de la Chambre des communes. Il s'agit, selon lui, d'un stratagème politique. La bloquiste Claude DeBellefeuille a parlé de cette réforme comme d'une manoeuvre partisane au détriment de la nation québécoise.

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vendredi, mai 07, 2010

 

Tout sur les élections britanniques 2010


http://www.bbc.co.uk/
http://news.bbc.co.uk/2/shared/election2010/liveevent/
http://news.bbc.co.uk/2/shared/election2010/results/
http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/politics/election_2010/8667938.stm
http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/politics/election_2010/default.stm
http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/politics/election_2010/8659878.stm
http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/politics/election_2010/8667820.stm

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